La religion vaccinale
LA RELIGION VACCINALE
A SON SIÈGE À GENÈVE
ET LE DOCTEUR SIEGRIST EST SA PAPESSE
La faculté de médecine de Genève est aujourd’hui le temple et le siège du dogme
politiquement correct, la vaccination, sa nouvelle religion et sa papesse, la doctoresse
Claire-Anne Siegrist. C'est elle qui a été chargée de lancer une campagne dans tout
l'Europe visant à stopper dans les plus brefs délais la suspicion naissante à l’égard des
vaccins, en ne lésinant pas sur les moyens.
Le coup d’envoi publicitaire a donc été donné le 15 septembre dernier à Genève avec trois
conférences offertes au grand public. C’est à la grande prêtresse des vaccins, Anne-Claire
Siegrist, que fut confié le soin d’inaugurer en grande pompe ce cycle de promotion avec
sa conférence : « Avec ou sans vaccin, un choix de société. »
Rappelons les liens qui unissent la faculté de médecine genevoise aux pharmas. La
doctoresse Siegrist - experte attitrée des médias - est titulaire de la chaire de vaccinologie
de la faculté de médecine de Genève (unique en Europe), créée et subventionnée par le
laboratoire Aventis-Pasteur, l’un des plus grands fabricants de vaccins et fournisseur de
l’OMS. Par ce lien financier, Mme Siegrist s’engage à défendre bec et ongles la cause de
son sponsor et à faire relayer le message par une presse plus que docile.
La Tribune de Genève, de son côté, semble avoir signé un pacte d’allégeance, vu l’espace
qu’elle réserve en permanence aux propos tranchés et aux affirmations outrancières de la
doctoresse. Sa présentation magistralement orchestrée, organisée en collaboration avec
la Ville de Genève, lui donna l’occasion de promouvoir l’importance de la vaccination et de
ses multiples vertus sur les maladies mortelles, en occultant délibérément leurs effets
secondaires et en traitant les sceptiques « d’ignorants dangereux » et les collègues
dissidents de « mauvais médecins ».
Que faut-il retenir de cette conférence ?
La conférencière Mme Siegrist confie ses priorités : assurer la relève en formant des
étudiants et développer le carnet de vaccination électronique (infalsifiable !).
Puis elle a parlé de quatre virus qui l’interpellent en tant qu’épidémiologiste :
La polio, non éradiquée à cause des intégristes de tout bord (pas à l’insalubrité des eaux
et aux guerres.)
Le virus Ebola et la mise au point réussie du vaccin grâce à son staff.
Les méfaits de la rougeole, à cause des irresponsables qui refusent de vacciner leurs
enfants, etc. (on connaît sa rengaine). Elle a quand même dit que la rougeole
n’était dangereuse que pour les enfants en mauvaise santé. Alors, malgré les soins
de la vaccination, nos enfants seraient-ils majoritairement en mauvaise santé ?
Le virus de l’hésitation vaccinale (aïe!), le plus important, car pour l’instant, on n’a pas
encore trouvé d’antidote. Il est très contagieux, représente 2 à 5% de la population,
se répand un peu partout, et affecte toutes les catégories sociales. Ce sont des
gens sincèrement convaincus. Ce virus est le plus dangereux, et ceux qu’il
contamine sont aussi de dangereux adversaires, car ils se croient bien informés, ce
qui n’est pas le cas, ils sont très actifs et font de la propagande sur internet.
La conférencière a proclamé :
« C’est très important d’avoir une chaire de vaccination, car il faut éduquer les gens. Il faut
tenter de comprendre pourquoi les parents refusent de vacciner leur enfant et font courir
des risques à leurs proches; la coqueluche, la grippe, la rougeole, ce n’est pas banal !!!
La perception des risques n’a rien de rationnel. Le fait que, grâce aux vaccins, les
maladies disparaissent, semble jouer un rôle, les gens minimisant la dangerosité de la
maladie. Quant à l’Internet, son rôle est très néfaste, car cela diffuse de fausses
informations et colporte des faits sans références scientifiques crédibles sur les vaccins et
provoque la défiance et la peur. »
Énorme !
Pour elle, il n’y a aucune corrélation entre :
- Les vaccins et l’autisme.
- Les vaccins et la sclérose en plaques.
- Les vaccins et les effets secondaires dus au Gardasil.
- Les vaccins et l’aluminium ou autre.
- Les vaccins et la mort subite du nourrisson.
- Les vaccins et l’émergence du cancer chez les enfants et adolescents.
(Question « carton rouge » : cette dame peut-elle prouver que ses enfants sont bien
vaccinés ?)
Quelles parades ont-ils trouvé
pour contrecarrer l’opposition vaccinale ?
Voilà en substance ce que propose la dotoresse Siegrist :
Il faut donner une formation de base à des professionnels et former des conseillers en
santé.
Nos étudiants en médecine par leur haute compétence seront le nerf de la guerre, la
courroie de transmission de notre message. Par exemple, les pédiatres sont de très
efficaces relais et montrent l’exemple en vaccinant massivement leurs enfants !
ll faut cibler la population dans son ensemble, les enseignants, les journalistes, les
autorités, les biologistes !
Utiliser les compétences des professionnels de la communication.
Le virus de l’incrédibilité vaccinale augmente le coût de la santé, comme ce fut le cas dans
la dernière épidémie de rougeole, mais il s’agit malheureusement d’une évolution
sociétale inéluctable.
Afin d’améliorer la perception du choix vaccinal pour les citoyens, il faut fournir une
information éclairée, créer des centres d’information (formatage) participatifs de
santé collective.
Mme Siegrist enchaîne :
« Prenons exemple sur la stratégie efficace mise en place par les services de santé
britanniques pour imposer la vaccination contre le cancer de l’utérus au plus grand
nombre. Grâce à des moyens publicitaires énormes, qui ont ciblé les cabinets médicaux,
les pharmacies, les journaux, les écoles, et aussi parce que les représentants de la santé
publique sont allés à la rencontre des parents et des adolescentes pour les convaincre du
bien-fondé de ce vaccin, le résultat a été obtenu : 93,5% de couverture vaccinale ». (Elle
ignore l’hécatombe qui s’en est ensuivie !)
A l’issue de cette conférence, l’éloquence de la conférencière a porté ses fruits, l’auditoire
était majoritairement convaincu que Mme Siegrist va sauver l’humanité du désastre (on
est en droit de supposer que ses bons et loyaux services au trust vaccinal sont largement
récompensés par un compte en banque bien garni !)
Que pouvons-nous en conclure, nous ?
Il faut se rendre à l’évidence : les vaccins restent à l’heure actuelle un sujet totalement
tabou.
Pour les « vaccinopathes », tous les effets secondaires décrits et potentiellement liés à
une vaccination ne sont que coïncidences fortuites. Aucune évidence scientifique,
le déni est constant, c’est la faute à pas de chance !
Les patients qui prétendent être victimes des effets secondaires des vaccins seront, dans
le futur, toujours considérés comme des affabulateurs hypocondriaques et les
médecins qui les cautionnent sont de dangereux illuminés. Tout ceci est du ressort
de la psychiatrie. Même s’ils sont en chaise roulante.
Face aux chantres inconditionnels de la théorie vaccinale qui défendent aveuglément des
théories controversées, aucune place n’est offerte pour un débat technique loyal.
Pour l’instant, pas moyen de se faire entendre dans ce cadre universitaire figé.
La plupart des médecins subissent un tel endoctrinement qu’ils en deviennent totalement
incapables de discernement ou alors ils manquent de courage pour se manifester,
par peur de représailles et de mise au ban.
Remarquer qu’aucun argument technique n’est jamais avancé - Mme Siegrist ne joue que
sur des arguments subjectifs, culpabilisants, comme on ferait pour manipuler des
enfants ; c’est du grand art !
On nous dit que la Suisse figure parmi les pays les plus performants en matière de santé.
Pourtant la santé des adolescents y est alarmante : allergies, asthme, dépression,
anorexie, boulimie, hyperactivité, suicide...Un article émanant du Fonds national suisse de
la recherche scientifique nous alerte : le cancer est l’une des principales causes de décès
chez les enfants et chez les adolescents ! Alors, vaccination et cancer, simple
coïncidence ?
La liste des opposants s'allonge,
va-t-on les faire taire ?
La liste noire des sommités qui contestent la nécessité des vaccins ou de certains d'entre
eux ne cesse de s'allonger : Pr Montagnier, Pr Belpomme, Pr Even, Pr Debré, Pr Joyeux,
Dr Emmanuelli, Dr Frachon, Dr Spinosa, Dr Curtay, etc. Quant aux 420 médecins qui
lancent une pétition contre le Gardasil, vaccin dévastateur hautement controversé, va-t-on
employer les grands moyens pour faire taire ces dissidents, leur retirer leur diplôme,
comme tente de le faire, chaque fois qu’il en a la possibilité, l’Ordre des médecins
français, représentant de ces nouveaux inquisiteurs, garants de l’ordre
établi ?
Michel Dogna
Source documentaire : Edith Gallay, Présidente de l’association Spasmophilie Entraide
(www.spasmo-aide.ch). Edith Gallay est titulaire d’une licence en chimie-biologique, avec
une mention spéciale en endocrinologie, obtenue en mars 1964 à l’Université de Genève.
Elle a poursuivi sa formation aux USA dans le domaine des sciences de la nutrition, puis
dans la détection de traces de pesticides et encore dans l'étude les enzymes de la
digestion. De retour en Europe, elle a fait partie d’une équipe de recherche de pointe à la
Faculté des Sciences de l'Université de Genève dans le domaine de la biologie
moléculaire.
Date de dernière mise à jour : 28/02/2019
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